Alice Hameau
Mata Hari
Réalisation : 2017
Alice Hameau :
JC et Gregor m’ont été présentés par un ami : « on a un lieu magnifique, on veut le sublimer ! On aimerait quelque chose de féminin…». A l’époque, le bistrot se nommait Le Reflex, je devais trouver un nom et le début d’une nouvelle histoire pour cet écrin.
En amont, des recherches ont été nécessaires pour contextualiser le projet ( l’époque associée au lieu, le quartier des brocanteurs ) afin d’écrire un brief des grandes lignes de l’aventure. Je préconise d’être subtiles et raffinés, de donner du sens, de retrouver l’âme chic du lieu, en pensant à un imaginaire tantôt lumineux pour le midi que feutré pour le soir.
M’imprégnant de la Belle Epoque pour le clinquant, la fête et les sourires, je plonge entre l’Art Nouveau et l’Art Déco pour m'inspirer.
Le vocabulaire des années 20 est riche et m’aide à proposer une liste conséquente de noms : c’est Mata Hari qui sera retenu. La dualité de cette égérie, femme moderne en son temps, me plaît bien : danseuse et courtisane la nuit, espionne le jour. Héroïne.
Mata Hari couronnée de plumes et parée de bijoux m’inspire le logo : une plume de paon un peu comme un œil qui nous épie. Le choix d’une typo aiguisée, élégante et légèrement rétro participe à l’intemporalité de l’identité.
Après avoir proposé des moodboards, designé la vitrine et déterminé le choix des papiers-peints en compagnie de Marion Bertaud (sa boutique 23 bis décoration est une mine de trouvailles !) , je me souviens avoir chiné en compagnie de Gregor et Mamat toutes sortes d’objets géniaux, et LA pièce maîtresse : ce magnifique lustre Art Nouveau dont on m’a confié le retapage. J’ai également exécuté les dorures sur les bas reliefs du bistrot pour mon plus grand bonheur. L’âme de MATA HARI a fait retrouver ses lettres de noblesse à cet authentique estaminet !
JC et Gregor m’ont été présentés par un ami : « on a un lieu magnifique, on veut le sublimer ! On aimerait quelque chose de féminin…». A l’époque, le bistrot se nommait Le Reflex, je devais trouver un nom et le début d’une nouvelle histoire pour cet écrin.
En amont, des recherches ont été nécessaires pour contextualiser le projet ( l’époque associée au lieu, le quartier des brocanteurs ) afin d’écrire un brief des grandes lignes de l’aventure. Je préconise d’être subtiles et raffinés, de donner du sens, de retrouver l’âme chic du lieu, en pensant à un imaginaire tantôt lumineux pour le midi que feutré pour le soir.
M’imprégnant de la Belle Epoque pour le clinquant, la fête et les sourires, je plonge entre l’Art Nouveau et l’Art Déco pour m'inspirer.
Le vocabulaire des années 20 est riche et m’aide à proposer une liste conséquente de noms : c’est Mata Hari qui sera retenu. La dualité de cette égérie, femme moderne en son temps, me plaît bien : danseuse et courtisane la nuit, espionne le jour. Héroïne.
Mata Hari couronnée de plumes et parée de bijoux m’inspire le logo : une plume de paon un peu comme un œil qui nous épie. Le choix d’une typo aiguisée, élégante et légèrement rétro participe à l’intemporalité de l’identité.
Après avoir proposé des moodboards, designé la vitrine et déterminé le choix des papiers-peints en compagnie de Marion Bertaud (sa boutique 23 bis décoration est une mine de trouvailles !) , je me souviens avoir chiné en compagnie de Gregor et Mamat toutes sortes d’objets géniaux, et LA pièce maîtresse : ce magnifique lustre Art Nouveau dont on m’a confié le retapage. J’ai également exécuté les dorures sur les bas reliefs du bistrot pour mon plus grand bonheur. L’âme de MATA HARI a fait retrouver ses lettres de noblesse à cet authentique estaminet !
