Les mentor·es jouent un rôle clé dans le développement de carrière, partageant leurs connaissances et leur expérience avec leurs mentoré·es pour les aider à passer des caps ; guidant la ou le mentoré·e dans la réalisation de ses objectifs professionnels. Ils augmentent ainsi leurs chances de succès en offrant un soutien personnalisé et précieux.

Les rôles peuvent être variés. Parfois, ils aident un individu à répondre à des besoins immédiats comme une revue de portfolio, donnant leur avis sur une offre commerciale ou une situation délicate avec un client. D'autres fois, ils offrent un soutien et des conseils à plus long terme. Quelque soit le besoin spécifique abordé, le mentorat est une relation où donner et recevoir s’applique pour toutes les parties impliquées.

Les mentor·es ne sont pas là  pour faire pour les autres. Il ou elle donnent tout un panel de retours issus de leur expérience et de leurs compétences ; des moyens pour tendre vers l’objectif, dans le but de l’atteindre. La/le mentor·e propose une relation ouverte, bienveillante et confidentielle basée sur une authenticité qui permet l’établissement de la confiance et un feedback sincère. La/le mentor·e aide la/le mentoré·e à clarifier et prioriser ses demandes, ses besoins en termes de développement : comment et vers quoi il tend à évoluer et à s’orienter.

du mentorat en direct avec des gens qui les sollicitent de manière naturelle. Beaucoup le font déjà en effet ce qui montre leur intérêt pour l’autre, pour l’entraide et l’authentique envie de partager ce qu’ils ont appris : leurs réussites comme leurs échecs.

Créons professionnalise cette relation mentorale en proposant une structure opérationnelle, un cadre pour créer l’espace nécessaire à la fluidité d’une bonne interaction.

Un·e bon·ne mentor·e dans le domaine créatif incarne une série de qualités précieuses, essentielles pour transformer l’expérience de mentorat en un véritable tremplin de réussite pour ses mentoré·es.

Pour inspirer, un·e mentor·e doit cultiver une attitude positive. Sans cela, il est difficile d’être un guide efficace. Les meilleur·es mentor·es savent transformer les périodes de déception ou d’échecs en moments d’apprentissage, partageant leurs stratégies pour traverser les zones d’incertitudes – des leçons précieuses pour les créatif·ves en quête de résilience. Se  tromper ou échouer n’est pas une mauvaise chose, c’est même super productif ! C’est toujours un peu déceptif au premier abord mais ça vaut le coup de convertir cette expérience - perçue comme mauvaise - en une bonne !  Le chemin emprunté par l’erreur mène à une meilleure connaissance de soi et de son environnement, ce qui est essentiel pour s’améliorer et mieux faire à l’avenir.

Un·e mentor·e fait preuve d’une écoute active et authentique : elle ou il établit un contact visuel, prête attention à ce qui est dit (et ce qui ne l’est pas) et capte les indices non verbaux. Elle ou il s’intéresse vraiment aux paroles de sa/son interlocuteur et pose des questions qui approfondissent la réflexion. L’attention est entièrement centrée sur la / le mentoré·e, créant un espace d’échange authentique et valorisant.

Un·e mentor·e intuitif·ve détecte les non-dits, même lorsque la/le mentoré·e prétend que tout va bien. Il sait aussi quand inciter doucement quelqu’un à exprimer ce qui le préoccupe et quand lâcher prise pour respecter l’espace personnel. L’intuition est une compétence innée que l’on peut affiner, en étant observateur et en cultivant l’écoute active.

Un·e mentor·e curieux·se cherche réellement à connaître et comprendre ses mentoré·e·s. Lorsqu’un sujet inconnu surgit ou lorsqu’elle ou il se retrouve face à une question complexe, le mentor recherche et persévère pour en trouver la réponse.

Un·e bon·ne mentor·e sait que chaque cheminement prend du temps et que la patience est capitale pour bâtir les grands projets. Les mentoré·es, souvent enthousiastes au début, peuvent nourrir des attentes irréalistes pour les 9 à 12 mois à venir. Un·e mentor·e avisé·e aide à poser des objectifs réalistes, rappelant que la transformation est un périple dans lequel chaque petit pas rapproche de la destination.

Enfin, un·e mentor·e inspirant trouve un plaisir réel et une joie sincère dans la réussite de ses mentoré·es. Voir leurs projets s’envoler et leurs rêves prendre forme est source de fierté et de bonheur car la réussite de leur mentoré·e est aussi la leur.En somme, un·e mentor·e créatif·ve inspire, élève et soutient. C’est cette générosité d’esprit et cette implication sincère qui en font un·e allié·e inestimable pour les créatif·ve·s en quête de croissance et de succès.

La/le mentor·e répond à différents critères qui participent à la réussite de l’accompagnement.

Chez Créons on est attentifs à 3 points :
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1. Vivre pleinement de sa créativité.
Sous statut d’indépendant mais pas forcément tout le long de sa carrière. Une carrière ne doit pas être lisse et suivre une seule trajectoire  pour être réussie. Il faut rester alerte et agile pour être là où on est légitime et à sa place. Une carrière est une accumulation de places à des instants ‘t’. 

2. Avoir une audience.
Impossible dorénavant de ne pas avoir de présence sur les réseaux sociaux quand on est créatif. Il faut montrer son travail pour le faire exister. C’est aussi l’opportunité de faire état de sa créativité, c’est une sorte de portfolio en temps réel. Avoir une audience c’est fédérer par sa créativité, c’est susciter de l’intérêt avec une forme de reconnaissance de son travail. C’est seulement en ayant créé cette communauté qui s’intéresse et suit son travail pour soi qu’une personne sera en capacité de guider vers cette même ambition.*3. L’envie de transmettre. Nous cherchons une capacité à écouter, à analyser une situation pour apposer un diagnostic auquel associer des résolutions et une méthodologie pour se donner les moyens. Cela fait aussi appel à une certaine pédagogie : le souci de bien communiquer et l’assurance de se faire comprendre.

3. L’envie de transmettre.
Nous cherchons une capacité à écouter, à analyser une situation pour apposer un diagnostic auquel associer des résolutions et une méthodologie pour se donner les moyens. Cela fait aussi appel à une certaine pédagogie : le souci de bien communiquer et l’assurance de se faire comprendre.

Sur ce dernier point nous sommes particulièrement sensibles aux précurseur·es : les personnes qui exercent et pratiquent déjà du conseil, de l’accompagnement ou carrément du mentorat en direct avec des gens qui les sollicitent de manière naturelle. Beaucoup le font déjà en effet ce qui montre leur intérêt pour l’autre, pour l’entraide et l’authentique envie de partager ce qu’ils ont appris : leurs réussites comme leurs échecs.

Créons professionnalise cette relation mentorale en proposant une structure opérationnelle, un cadre pour créer l’espace nécessaire à la fluidité d’une bonne interaction.